#ON VEUT VOIR CA <3< /div>
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camisoledadparis · 23 days ago
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saga: Soumission & Domination 396
Les " petits frères "-1
Jalil :
J'ai truqué l'enchère afin que DGSE soit le gagnant. Je veux quelqu'un en qui j'ai une totale confiance pour lui. Quelqu'un capable de gérer si le petit a un bad trip qui lui revient en pleine face. D'autant plus qu'inconsciemment, il pourrait chercher la domination qu'il a connu ces trois dernières années et que j'ai senti qu'il recherchait alors que nous faisions l'amour tous les deux. DGSE en est conscient lui aussi et accepte le deal. Comme quand je lui avais amené la première fois Ric, il me demande de rester avec eux. Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas baisé un petit mec ensemble et il aimait bien le faire avec moi.
On débarque donc chez le recruteur de Jona et François. Cette fois pas de scénario interrogatoire ou même interpellation. On descend quand même dans son donjon personnel. DGSE à fait disparaitre les menottes et autres moyens de contention dans les caisses, ne laissant que le sling, le cheval d'arçon et bancs de muscu. Jalil tremble un peu malgré le chauffage à fond qui nous invite à nous déshabiller. Je suis derrière lui. Je l'entoure de mes bras alors que DGSE s'approche et l'embrasse. Il se calme, je sens ses muscles se détendre.
DGSE y va très progressivement. Il commence à le dénuder. Le sweet puis le t-shirt quittent mon petit libanais et là, blocage complet. Jalil s'effondre à nos pieds et pas pour nous faire une pipe mais en pleurs. DGSE s'écarte et moi, je m'accroupi pour lui montrer que je suis là avec lui. Il m'attrape aux épaules et s'accroche à moi. Ses pleurs me secouent. Sa tête sur mon épaule, il mouille mon polo. Entre deux hoquets il s'excuse de ne pouvoir assurer. Tout bas je le traite d'imbécile, qu'il ne me fait pas honte et que c'est d'abord lui qui est important, plus encore que le client. Il tourne alors la tête dans tous les sens mais DGSE nous a laissé seuls. Je mets une bonne demi-heure pour le calmer et le persuader de se rhabiller. Malgré son stress il voulait continuer. On remonte et nous retrouvons DGSE qui nous avait préparé un thé bien chaud. Jalil s'approche de lui la tête basse et s'excuse de n'avoir pu assurer. DGSE d'un doigt sous le menton relève sa tête et en le regardant dans les yeux lui dit que ce n'est pas grave. Il se penche et lui calque juste un petit bisou sur les lèvres. Quand nous rentrons, il s'estime lâche et peureux, il panique à l'idée que ses nouveaux amis apprennent son forfait. Je l'assure que ce ne sera pas le cas mais ce n'est que quand Enguerrand et Max l'entourent de leur amour qu'il en est enfin persuadé. Je les laisse ensemble.
Enguerrand me dira plus tard qu'ils avaient quand même du ramer ferme pour lui remonter le moral et son estime de lui. Le soir il veut me voir en particulier. Il s'en veut de m'avoir fait perdre de l'argent, il veut savoir si j'acceptais que tous les mois sur ce que lui donne son père, il m'en rembourse une partie. Je lui explique alors pourquoi j'avais choisi DGSE pour son essai d'escort. Qu'avec lui cet incident d'avait pas eu de conséquence et qu'il n'était donc pas question d'un " arrangement " de la sorte. Il me tombe dans les bras et me dit tout bas que pour moi c'est quand je veux qu'il m'offre son corps. Il me rappelle que c'avait été très bon quand nous avions fait l'amour tous les deux. C'était totalement différent d'avec Enguerrand, Max et Nathan, même si avec eux c'était géant aussi. Il commençait à les aimer plus que beaucoup. Avec moi c'était plus " mature " sans être coercitif. En fait je réunissais la domination dont il avait besoin avec l'attention et la douceur que lui apportent les 3 jeunes. Affectueusement je le traite de petit con et le renvoie à ses amis.
Max : Lui aussi a décroché un contrat top. C'est celui dont j'avais eu le plaisir de baiser le majordome. La veille de la prestation, le client m'appelle et me demande si je pouvais accompagner Max, il voulait remercier son valet et à combien j'émargerais le cas échéant. Je me fais un peu désirer et la proposition augmente. J'ai beau lui dire que je ne fais plus ce genre de prestation, il me rappelle qu'il est bon client et depuis longtemps. Il trouve les arguments suffisants pour me convaincre de me remettre personnellement au travail. Nous arrivons donc dans sa grande propriété et Max est impressionné par le service. Le majordome nous conduit à l'arrière de la grande maison et nous retrouvons notre hôte au bord de sa piscine. Je laisse Max avec lui dès que son valet s'est assuré qu'ils avaient tout ce qu'il fallait : boissons fraiches, kpotes, gel et poppers.
Je suis mon homme. Son appart est au-dessus des garages. Il n'est pas malheureux avec un logement d'une centaine de m². Un grand séjour avec cuisine américaine où il ne prépare que du café et une chambre de 30m² aussi bien équipé que celle de son maître. Lit à baldaquin en acier " équipé " : sling... une étagère à roulettes supporte les accessoires nécessaires quand on est souvent seul : godes, plugs, boules, gel et pot de graisse à fist... Je sens que je vais pouvoir m'amuser un peu.
Le mec n'a pas changé. Nu il est toujours aussi et autant épilé même si son employeur ne se sert plus de lui comme avant. Je le trouve un peu plus musclé et il me dit que c'est les passages répétés de mes escorts qui l'ont incité à travailler un peu sa musculature. Car en général, il est présent dans la chambre pour veiller à ce que son maitre et mon escort aient tout ce qu'il faut sous la main sans qu'ils n'aient besoin de demander. A sa demande, son patron a équipé une petite salle de muscu et lui aussi s'en sert un peu. Il s'arrête de discuter et s'approche. Il prend ma bite presque totalement bandée et s'agenouille pour me faire une fellation en mode gorge profonde. Il n'a rien oublié de la technique et s'enfile mes 20cm direct en fond de gorge au premier essai. Je le laisse gérer. Il me pompe grave, n'hésitant pas à rester les lèvres collées à mon pubis plus d'une minute à masser mon gland par de lentes déglutitions. Je le repousse plusieurs fois de peur de jouir trop vite tellement c'est bon. Une telle prestation ne m'est faite que par Jimmy.
Comme il s'est mis à 4 pattes devant moi et qu'il cambre ses reins façon " salope en manque ", je me penche et mes doigts suivent naturellement sa colonne vertébrale, son sacrum pour plonger entre ses fesses et y trouver une rosette palpitante. Deux doigts s'enfoncent sans résistance jusqu'à ce qu'il me les emprisonne d'une contraction destinée à me montrer que ce n'est pas un vagin que j'investi. Je le repousse et lui dis que je vais l'enculer avant de lui travailler sérieusement la rondelle. Il est OK avec le programme. Je le balance sur le sling et kpoté l'encule direct utilisant juste le gel de ma protection pour glisser tout au fond. Sous la poussée, le sling part en avant et le balancement me fait déculer juste ce qu'il faut pour bien sentir le retour. Je joue à ce petit jeu un moment avant de le faire descendre et de le sodomiser en levrette. Il couine sous mes assauts mais surtout me demande d'y aller plus fort. Ce que je ne manque pas de faire. Ma mains tombe sur un gode dans mes dimension. Sans cesser de lui labourer la rondelle, je graisse l'engin et sans le prévenir l'enfonce à côté de ma bite. Bien entrainé, il ne laisse échapper qu'un " arg " de surprise quand je rentre les deux queues, la mienne et celle en plastique. Mais ça passe, je m'en doutais vu les plus gros godes sur l'étagère qui ne doivent pas faire que de la figuration. Je cale le gode bien profond et coulisse entre lui et la moitié du boyau qui me reste.
Quand je me suis bien amusé, je décule et lui dis qu'on passe au travaille de sa rondelle. Retour sur le sling où je lui attache les chevilles et les mains aux suspentes. Sa rondelle s'est ourlée de ma sodomie élargie. J'enfile une paire de gant et les recouvre de graisse pour travailler son anneau. Alors que je poisse mes doigts dans son trou en tournant pour bien graisser la surface, je vois qu'il bande ferme, il prend vraiment du plaisir à ça. J'avise un gode gonflable. Je lui enfile et pompe. Ne connaissant pas ses capacités, je lui dis de me guider. Il m'arête après une bonne minute de pompage, me dit d'attendre et quand il se sent prêt, me dit de tirer dessus pour le retirer. J'y vais doucement car le diamètre a quand même doublé par rapport à son entrée. De son côté il pousse et quand il n'en reste plus que la moitié, il l'expulse tout seul. Sa rondelle est maintenant grande ouverte prête au fist. Je recouvre mes gants d'une nouvelle couche de graisse et j'y vais. Main gauche (la plus fine de mes deux mains) doigts réunis en fuseau, je l'enfile sans problème. Main droite pareil mais je sens une compression. Une fois le sphincter passé, je ferme le poing et pousse. Je tape sa prostate, sa bite tressaute de plaisir. Il me souffle d'y aller franchement. Je pousse et j'entre mon avant-bras au 4/5, jusqu'à la partie la plus gonflée qui bloque. Je dois lui écarter la rondelle à pas loin de 11cm de diamètre, belle perf !! Je ressors et je vais jouer de mes deux mains et avant- bras. Il va se mettre à juter des litres sur son ventre quand je lui aurai mis ma main droite et ma bite au centre et que je me serais mis à me branler.
Je tourne autour du sling et lui présente ma bite à sucer. Quelques minutes et je me retire vite pour ajouter mon jus.au sien.
Repos, je le détache et l'aide à se lever. Il me remercie d'avoir été aussi efficace, cela faisait longtemps qu'il n'avait pris un tel pied. Douches, on se rhabille et vu le temps que nous avons passé, nous retournons vers la maison. Nous retrouvons le client en maillot et Max qui, nu, nage lentement dans la piscine. Comme son valet, il me remercie, lui pour Max qui était un vrai bonheur à baiser. Max sort de l'eau et s'approche. Je le sèche pendant que le client rentre dans la maison. Alors qu'il se rhabille à son tour, je lui pose quelques questions. Il me dit que cela s'était très bien passé, l'homme avait pris beaucoup de précaution pour le pénétrer et du coup il se l'était pris d'une seule, lente, mais puissante poussée. Puis il l'avait baisé dans plusieurs positions, passant de l'une à l'autre sans sortir de son cul. Il avait trouvé que le mec était endurant pour son âge. Je lui dis de se taire, c'est pas un sujet sur lequel il peut discuter !!
Il convient que ç'avait été bon mais sans l'intensité qu'il trouve quand il fait l'amour avec ses trois amis et même avec Adam. Je lui confirme que c'est effectivement différent même si on trouve son plaisir quand même, il n'a pas le même goût qu'entre amours. Il est d'accord et ajoute que même avec Jalil qui est le dernier venu dans leur petit groupe d'intimes, c'est meilleur. Quand nous sommes sur le point de partir, le client remet une enveloppe à Max. Il l'ouvre quand nous sommes dans la voiture sur le chemin du retour. Il m'annonce le montant, à quelques billets près c'est le même montant que pour Enguerrand.
Quand il retrouve ses complices impatients, il la joue un peu blasé, comme quoi, oui c'est bon mais il s'excite plus avec eux. Ça ne dure pas car il se fait chahuter et mi- chatouilles / mi- bagarre, il se retrouve enseveli sous les corps de ses 3 amours.
Jardinier
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claudehenrion · 9 months ago
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Madre mía...
Cette interjection espagnole décrit parfaitement notre situation incompréhensible : au delà d'un certain point, il ne reste plus qu'une mère, pour apporter du secours (NDLR : le même ''SOS'', dit en arabe et en onomatopées, n'est pas mal non plus : ''Taï taï taï... Ya ouili, ouili, ouili...''). En français, on dispose de la magnifique ''Une fois qu'on a passé les bornes, y'a plus de limites'' d'Alphonse Allais. Mais aujourd'hui, on a besoin de toute la richesse de toutes les langues pour tenter de décrire le méga bordel (Si vous avez un mot aussi précis, je suis preneur !) qu'est la France, en ce lendemain des ''Européennes''..
Il y a 3 ou 4 jours, je vous avais timidement prévenus (cf. ''Les dangereuses Européennes''), mais qui aurait pu prévoir que, seule parmi les nations du monde civilisé –dont la plupart votent, ces temps-ci-- la France n'était même plus capable de résister au choc (?) indirect d'une élection totalement indépendante de ses règles de fonctionnement. Son chef, qui passe le plus clair de son temps à donner des leçons –sans queue ni tête, mais très coûteuses et très risquées-- au monde entier, qui s'en fout, et à dépenser en Ukraine l'argent qu'il s'est arrangé pour que... nous ne l'ayons plus... n'est même pas capable de résister 24 h à la poussée démocratique et parfaitement légale d'un parti politique parfaitement légitime... et classé premier dans son pays ! A titre purement personnel, j'ai espéré, contre toute raison, que l'intelligence ''Marion-Eric'' ferait une percée. Je savais mon pari perdu, il l'a été. Dommage pour tout le monde. Il nous reste à digérer une super gueule de bois.
Mais les lecteurs réguliers de ce blog savent ma confiance profonde dans l'existence, invisible mais efficace in fine, d'une ''justice immanente'' qui finit par rattraper ceux qui ont échappé à la soi-disant ''justice'' des hommes, des Etats et, le cas échéant, de Dupont-Moretti (je dis ça pour rigoler !). Les anciens disaient ''Il est puni par où il a péché'', et la sagesse des nations a effectivement remis les choses en place : après sept trop longues années durant lesquelles il a passé son temps à vomir sur un quart, devenant pas sa faute un bon un tiers, des français (càd. ceux qui refusaient ses visions changeantes d'un avenir qui ne pouvait conduire qu'à la catastrophe collective et au malheur individuel), notre président-ado se retrouve seul devant le méchant destin qu'il nous avait concocté à grands coups de mauvaises décisions, d'analyses foireuses, de croyances progressistes et (donc) de solutions perverses, pires que le mal...
Et maintenant ? La révolte des braves gens a, une fois de plus, écarté la menace immédiate d'un macronisme pervers... Mais –ce qui n'était pas prévu, et même jugé et juré impossible par les ''ceux-qui-savaient''-- toutes les digues ont lâché, d'un coup, en cinq minutes-chrono ! Il ne voulait pas d'une victoire même minoritaire du Rassemblement national ? Il a réussi à fabriquer un tsunami-RN qui risque de tout emporter... Car si –comme beaucoup le supposent-- le triomphe européen du tandem Le Pen-Bardella se confirme aux législatives annoncées et bricolées à la hâte, quelle autre issue lui restera-t-il que de (se) démissionner lui-même, après avoir démissionné la bande de nullissimes qu'il traînait derrière lui et dont il nous imposait, contre notre gré mille fois répété, les effroyables idées, l'arrogance méprisante, les références mortifères et la bêtise inculte... encore que, entend-on dire, ici ou là, ''n'est pas De Gaulle qui veut''.
Ce scrutin européen et ses conséquences totalement imprévues nous ont tout de même apporté quelques bonnes nouvelles : la joie, en premier, de savoir que la bande de cuistres gauchisants qui avaient été élus dans le sillage de Macron –et à qui nous devons tant de décisions aux conséquences souvent mortelles pour la Nation-- va disparaître en grande partie. Un nombre grandissant de français n'en pouvaient plus, de les voir se pavaner à nos frais en mettant aux voix les pires idées possibles. Une autre bonne nouvelle, c'est le ratatinement des ''écologistes punitifs'' qui ont fait tant de mal à notre jeunesse (combien d'enfants ont grandi dans un univers de terreur, par leur faute ? Il ne faut jamais le leur pardonner), comme aussi à notre industrie, à nos agriculteurs, à notre économie, à nos choix politiques, etc... Mais ils nous ont tant fait de mal, à nous et à la France, qu'il est presque normal qu'on leur en veuille..
Essayons de rester dans les sujets fondamentaux : Emmanuel Macron nous a ''baladés'' pendant son quinquennat et demi dans les horreurs de sa pensée narcissique et erratico-progressiste : pas de programme, pas de buts, pas de direction générale –autres que cette Europe anthropophage, invivable et dystopique, qu'il a prétendu nous imposer aux dépens de notre France, dont nous sommes si nombreux à vouloir la pérennité. Nous lui devons l'effondrement de notre diplomatie et de notre poids dans le monde, une déroute absolument dramatique en Afrique de l'Ouest, notre humiliation permanente devant l'Algérie confite dans la haine pathologique qui reste la seule raison d'être d'un personnel politique corrompu et, plus récemment, ses prises de risque illimitées devant un adversaire qui nous surclasse sur tous les chapitres, en multipliant sans raison objective (Poutine n'a pas la possibilité de nuire à d'autres pays : il ne parvient pas à prendre plus de 10 ou 20 km² en Ukraine. On agite devant nous un épouvantail...) des engagements intenables auprès d'un pays croupion avec lequel nous n'avons jamais eu de relations autres que mercantiles et à court terme...
Son bilan –le jour où il faudra le faire-- se résumera sans doute à son affirmation péremptoire de ramener le RN à trois fois rien... Bravo, l'artiste ! Que croyez-vous qu'il en tire comme leçon ? Le fait d'être écrabouillé à plates coutures est pour lui une raison suffisante pour –surtout-- ne pas changer de stratégie... et en remettre une couche, en confiant aux chaînes d'un ''Sévice Public'' à sa botte (argent illimité oblige !) ses ''conseils pour le vote à venir''... que tout le monde attend, pour rigoler d'abord, puis les transgresser ensuite. Il refuse de voir à quel point il est rejeté –presque trop, même, d'après moi. Mais allez percer la logique d'un ado trop gâté par la vie...
Le futur immédiat est clair : on peut supposer que, quelles que soient les paroles jetées en pâture aux gogos, la Gauche va reprendre ses habituelles magouilles sans foi ni loi : la seule chose qui compte, c'est de garder les sinécures et de nuire autant que possible à la France, au profit (?) d'idéologies plus perverses les unes que les autres... et la Droite va continuer à ''déconner un max'' en refusant toute démarche de rapprochement qui pourrait tout remettre sur pied et dans le bon sens. Et Macron risque fort de se retrouver avec une Assemblée encore plus ingouvernable que l'actuelle, sans aucun bricolage possible en vue d'une majorité... Ou alors (aujourd'hui, c'est le plus probable), une majorité pour le RN qui ne laisse qu'un seul ''choix'' : ''Jordan à Matignon'' (et Fabius, qui s'autorise à paralyser le choix du peuple français, au nom de sa démocratie partisane.).
Et là... la haine anti-Droite de Macron + la haine pathologique de l'extrême Gauche pour tout ce qui n'est pas elle... risquent d'ouvrir la porte aux pires excès, aux mouvements les plus destructeurs, à la phraséologie la plus génératrice de haines-à-venir qui soient. Une fois encore... notre ultime chance reste de demander à Dieu de sauver la France. On peut espérer un résultat, mais il n'est pas certain que ça marche en 2024 aussi bien qu'en 1428 avec Jehanne d'Arc ! On va donc attendre. Mais quoi ?
H-Cl.
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gorgonsplayground · 3 months ago
Note
salut salut, j'espère que tu vas bien. je passe te voir pour te déposer une idée de fc sur lequel grapher si le coeur t'en dit (il a si peu de ressources). il s'agit de rufus sewell, je te donne la petite galerie ici : https://imgbox.com/g/nCQM94Yg8k
pour le perso, il s'agit d'un flic qui nage en eaux grises. pas vraiment bad cop, pas vraiment good cop, il agit surtout dans son intérêt. il voit tout ça comme un jeu. il joue sur plusieurs tableaux et ça le gêne pas parfois de passer pour un idiot/naif si ça l'aide à atteindre ce qu'il veut. il veut prouver, pourquoi il sait pas trop, mais daddy complex fait que. s'il peut se remplir les poches au passage tant mieux, s'il peut rendre le truc excitant encore mieux. il a quand même en ligne de mire de gravir les échelons (il a foutu son frère en taule pour être là où il est). il aime le jeu, il aime voir jusqu'où les gens vont dans leurs desseins, il cherche ses limites aussi en même temps.
si jamais ça t'inspire quelque chose, fais moi signe. j'adore vraiment ce que tu fais <3 bonne soirée !
hiii you! ça fait super plaisir de te voir passer par ici ✨ j'espère que tu vas bien également? en tout cas, c'était un vrai plaisir de graph pour ton personnage, we love les cops ripoux in this house 😮‍💨 et rufus était clairement sur ma bucket list !!!!
voilà les petits avatars par ici, je te laisse également une variation du premier, c'est parti sur une tarot card reconstituée, ma vibe fleurs en ce moment, faut pas trop chercher hahah. j'espère que ça te plaira krkr ❤️
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kelthoumrambles · 11 days ago
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Je viens de prendre rdv dans un service de santé mentale spécialisé dans le traitement, la prévention et la réduction des risques en matière d’assuétudes. La personne que j'ai eu au téléphone était super gentille. Je dois attendre 3-4 mois avant qu'une assistante sociale me recontacte (oui, on a le temps de crever mais bon ce genre de services sont totalement débordés donc je suis agréablement surprise d'être sur leur liste d'attente. C'est cool). D'ici là, je vais essayer de pas trop me mettre à l'envers et essayer de me remettre sur pieds comme j'essaye de le faire depuis mai dernier. Surtout éviter une nouvelle décompensation psychique aka la rupture de mon équilibre psychologique. La dame m'a demandé qu'elle était mon objectif et je lui ai répondu timidement, sans presque vraiment y croire "idéalement, je pense avoir envie de viser l'abstinence..." et elle était très comprehensive "Oui. Ce n'est pas évident. Surtout seule. Ça se fait par palier. C'est très bien de chercher de l'aide. Ça va aller". Bref j'essaye de ne pas me laisser tomber. Je ne perds pas mes objectifs de vue. Un pas après l'autre. J'ai envie de hurler. J'en peux plus. Je me sens prisonnière de mon environnement. Un cycle sans fin. Un putain de mauvais rêve. Un des étages de l'enfer de Dante. Tout m'a l'air faux... quelle comédie. Pourquoi faire semblant ? Non. Oui. J'ai envie d'être libre. Libre. Mais qu'est ce que ca veut dire ? Qu'est-ce que ça donnerait ? Est-ce que je me sentirais toujours comme une grosse merde même en étant sobre ? Je sais pas... je vais voir
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tussanuspostea · 21 days ago
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hear me out : un forum city station de ski. tu viens pour la saison, t'habites à l'année, t'es de passage 1 semaine, même bail. un bar au yéti (tmtc), une folie douce, et puis pour celleux qui veulent, les tractations pour faire avancer à la mairie un‧e candidat‧e qui permettrait à la station de regagner en notoriété, de remettre en état la citadelle de montagne, ou de relancer l'économie, voir un virage écologique (ou les 3, hé, on peut rêver). staff minime pour juste mettre la couleur du groupe et les accès, fiches légères, et après chacun‧e fait ce qu'iel veut.
j'ai ni le temps ni la possibilité de lancer un projet pareil, mais voilà, si ca inspire du monde, je vous fais cadeau de l'idée !
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ascle · 11 months ago
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Les expressions québécoises
(Partie 1)
Il pleut à boire debout
Cette expression est employée en cas d’averse intense ou d’orage. Elle signifie qu’il pleut si fort qu’on pourrait boire debout, en levant simplement la tête vers le ciel.
Le verbe « pleuvoir » peut aussi être remplacé par « mouiller ». Par exemple : « Il mouille à boire debout ».
Se faire passer un sapin
Si quelqu’un vous dit qu’il s’est fait passer un sapin, montrez-lui un peu de compassion. Cela signifie qu’il s’est fait avoir, qu’il a fait une bien mauvaise affaire ou qu’il s’est fait arnaquer.
Cette drôle d'expression québécoise tire son nom du sapin baumier, qu’on utilise comme sapin de Noël. Pour les ébénistes, ce dernier ne vaut pratiquement rien sur le marché. En effet, les planches de sapin baumier ont tendance à craquer une fois séchées, contrairement à d’autres conifères comme le pin et l’épinette.
À l’époque, lorsque les Anglais venaient acheter du bois de construction aux Canadiens français, les francophones remplaçaient le bois de qualité par du sapin baumier, au moment de la livraison.
Tomber en amour
Explication : Celle-ci est tirée de l’expression « fall in love » en anglais. Chez nous, on tombe en amour avant d’être en amour. Et puis quand on y pense, commencer une nouvelle relation, c’est un peu comme se lancer dans le vide, non ?
Dans tous les cas, au Québec, l’amour fait mal. On tombe… Et « on casse » quand une relation se termine.
À noter, on peut aussi tomber en amour avec un pays, une ville, une chanson, etc.
J'ai mon voyage
Rien à voir avec vos prochaines vacances. Ça signifie d'en avoir ras-le-bol, en avoir marre.
Pogner les nerfs
Faire une crise de colère, d'impatience
C'est arrangé avec le gars des vues.
Pour bien comprendre cette expression québécoise il faut savoir ce que signifie "les vues" au Québec. "Les vues", "les petites vues" ou "les vues animées" sont utilisées pour parler du cinémas au Québec. Ainsi, "aller aux vues" signifie tout simplement aller au cinéma.
L'expression québécoise "c'est arrangé avec le gars des vues" veut dire que quelque chose est truqué ou falsifié. Cela veut dire que le résultat est connu en avance.
Se fendre le cul
L'expression québécoise se fendre le cul est très couramment utilisée. C'est une expression familière synonyme de se fatiguer, se donner du mal. Il s'agit donc de faire un effort et de dépenser de l'énergie pour faire réussir son activité.
Une variante est "se fendre le cul en quatre", dont l'équivalent en France serait "se plier en quatre", synonyme de "faire tout son possible".
Se r’virer sur un dix cenne
Décortiquons d’abord cette expression. Un dix cenne est une pièce de dix centimes de dollars. C’est 10 cents, 0,10$, dix sous, prononcé un peu différemment. Se r’virer, ou se revirer, c’est se retourner.
Une fois ces termes clarifiés il est plus facile de comprendre l’expression. Être capable de se retourner sur une pièce de 10 centimes, c’est être capable d’adaptation rapidement.
Exemple: Son plan a échoué. Il a fallu se revirer sur un dix cennes pour trouver rapidement une solution.
O.P.C!
Si un Français lit une lettre ou un courriel qui se conclu par la mention "OPC", il n'est pas certain qu'il comprendra bien ce que ces 3 lettres signifient.
OPC est l’abréviation sonore d’Au Plus Crisse. Cela veut dire que ça urge, qu'il faut réagir au plus vite! C’est l’équivalent du A.S.A.P américain (As Soon As Possible).
Ça prend pas la tête à Papineau
L'expression fait référence à quelque chose qui ne demande pas une grande intelligence. On utilise cette expression pour dire que quelque chose est simple à comprendre, évidente ou facilement réalisable.
La tête à Papineau fait référence à Louis-Joseph Papineau. Il s'agit d'un politicien célèbre et reconnu pour sa grande intelligence. Il a notemment mené les Patriotes durant la rébellion de 1837.
C’est d’valeur
C'est L'expression québécoise "C'est de valeur" est synonyme de fâcheux, qui est dommage.
Une expression qui provient des amérindiens. Dans leurs conversations avec les canadiens, ils utilisaient souvent des réponses concises. Lorsqu'une situation était importante et nécessitait de réfléchir aux pours et aux contres, ils répondaient que " la chose est de valeur ". Du moins c'est ainsi que les interprètes français le traduisaient. Avoir de la valeur, qui mérite d'être réfléchi en opposition à ce qui ne vaut rien. Par cette expression, l'Amérindien voulait faire entendre poliment à son interlocuteur que ses propos sont dignes d'intérêt, mais qu'il ne veut pas s'engager tout de suite à une réponse. Puisque souvent c'était relié à des choses tristes, l'expression à pris le sens de fâcheux, dommage.
Le Comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, dans une lettre adressée à la cour de France le 20 octobre 1691, parle d'une escarmouche avec les Iroquois où ces derniers perdirent quarante-cinq hommes. «Cet échec qui était de valeur pour eux, pour me servir de leurs termes, parce que parmi leurs morts, il y avait de leurs principaux chefs, les ralentit beaucoup»
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vulnerablequeen · 4 months ago
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Louis (partie 1)
C’est un samedi soir de juin. Je me prépare à aller au lit - who am I kidding - à m’évanouir sur mon sofa avant de transférer mon cadavre vers le lit à 3h du matin.
Je fais pourtant ma petite routine de dodo: Instagram, Hinge, Bumble, Hinge, Bumble, Hinge, Instagram. Je match avec un gars sur Bumble, probablement le plus hot que j’ai vu depuis 3 jours. Et 3 jours sur les applications, quand tu swipes en 0.1 seconde des centaines de profils à l'heure avant de dormir, c’est beaucoup de temps.
Il s’appelle Louis. Il fait du vélo et semble avoir une job payante. Intéressant. Les critères sont bas, mais les critères sont là. Et il est beau. Le regard vif, les poses candides (c’est-à-dire, pas en train de flexer dans un gym), les cheveux rasés et il semble avoir de belles mains.
Les mains, c’est très important chez moi. C’est toute l’histoire d’une amourette qui se dessine avec ces mains-là. Je regarde s’il peut me prendre là où je le veux, s’il a les doigts fins, s’il a les mains marquées par la job.
Clairement, lui c’est une job de clavier. Il semble savoir pianoter; je suis intéressée. Je sens qu’il va me divertir. 
Son profil mentionne l’existence d’une blonde, mais c’est sous le couvert de la blague: « I’m actually very funny, you can ask my girlfriend ». Ça porte juste assez à confusion pour que je lui parle. Je fais ni une ni deux et lui demande ce que sa bio veut dire. Tout ça, de façon charmante évidemment; le gars n’a pas de compte à me rendre.
Il me répond qu’il est en couple ouvert. 
« Shit. », ai-je pensé. 
Pourquoi c’est la première pensée qui m’a traversée? Pourtant, je comprends et j’admire les personnes en couple ouvert. Ce sont des personnes qui s’efforcent de communiquer et de célébrer le bonheur de l’autre. Mais je ne connais pas le gars.
Peut-être qu’il n’a pas cette vision. Peut-être qu’il est mélangé et qu’ouvrir leur couple est le dernier recours pour le sauver. J’espère que ce n’est pas le cas. Le gars m’intéresse trop pour que je m’arrête à ça. Red flag déjà en partant? Le soir, dans le noir, c’est difficile de voir les couleurs, anyway. 
Il me réquisitionne en date le soir même. Les conversations coulent déjà en textos, je suis curieuse de ce qu’il a à m’offrir en vrai. Moi, je suis en pyjama avec les cheveux gras. J’accepte, parce que ma devise de l’été c’est LFG (Let’s fucking go).
Je m’arrange une face cute-coquine-tu-m’as-pris-au-dépourvu, je me fais une couette et j’ai mon outfit d’urgence qui est propre. Les astres du sexe sont alignés. 
OUTFIT D’URGENCE Définition: Un agencement vestimentaire infaillible, qui masque les complexes et met en valeur les atouts. C’est le passe-partout des vêtements. Ce outfit ressemble donc à des jeans évasés, une camisole moulante blanche et une chemise ample au tissu doux. 
Il me convoque au Bar Mamie. Délicieuse place de date. J’accepte. Il est 21h, l’heure de tous les possibles. L’heure de (peut-être) frencher. L’heure de partir en bixi - avec casque - pour aller rejoindre le prince charmant d’une autre. Il y a des travaux partout, je marche plus que je roule. C’est aussi à ce moment que je commence à me questionner. 
Suis-je complètement tombée sur la noix? (Cette expression) M’extirper de mon sofa pour aller en date sul’ fly - avec casque - avec un gars en couple ouvert?
Je voulais une amourette d’été, mais étais-je allée trop loin? Trop loin pour une personne pour qui je vivrai toujours en second plan? Je veux vivre en second plan, en fait. Je ne veux pas avoir la pression d’être la reine d’un autre. La couronne est trop lourde à porter pour ma tête qui ne veut pas s’engager. 
Ça, c’est réglé. 
Je fonce à toute vitesse - avec casque - sur Bellechasse et je tourne sur Drolet. J’approche du resto. Ma pensée à ce moment: j’espère qu’il ne me verra pas en bixi avec mon casque sur ma couette. C’est tout ce que je demande. 
J’enclenche mon bixi et me dirige vers le resto. Est-ce que je peux me permettre d’être aussi séduisante qu’à l’habitude? Dois-je me garder une petite gêne pour la blonde? Trop tard pour les questions. J’entre dans le resto et il est là. Beau comme un cœur. Time to shine. Mais pas trop? On est arrivés en même temps. Il a un chandail blanc soigneusement rentré dans ses jeans et un tote bag. Il est exactement ce que j’espérais: un gars qui semble keep it together. Il n’inspire pas le chaos, je respire plutôt l’odeur d’un gars propre. Il a de la classe.
« Enchanté. Moi c’est Louis. » On se fait la bise timidement, lentement. Il me semble doux.
On verra ça après quelques verres de vin.
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code-lab · 2 years ago
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WHAT REMAINS DESIGN (1/?)
Trouver l'inspiration et le ton
Ok alors, un peu de passif : avant que @frenchandfurious vienne me dire "j'ai encore envie de post apo puis TLOU arrive", on s'est amusée pendant 2/3 mois sur un projet de SF. Projet pour lequel j'avais déjà une maquette déjà bien avancée (que je posterais un jour). Donc faut me sortir un peu le nez des belles images spatiale et d'un thème sombre pour un univers désolé/abandonné.
Image pour une bannière ou un fond
Avant même de savoir sur quel genre graphique je vais partir, Margot me fait une collection d'image issu de Unsplash qui donneront le ton. On a toutes les deux la flemme de faire une bannière élaborée et moi je jure que par les design de forum avec une image simple.
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Idée de structure
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Après, on cherche des inspirations en web design. Moi je regarde ce qu'il se fait du côté de TLOU (UI du jeu, site concept...) et Margot plutôt du côté de Hunger Games, notamment du côté du studio Waston DG qui a toujours été une énoooorme source d'inspiration.
On se donne des indications et on dessine des trucs d'enfant de 8 ans qui découvrent l'anatomie du corps humain.
Il s'agit pas de copier exactement. C'est repérer des petits élément d'interface qui pourraient fonctionner sur Forumactif : une barre de lien rapide, boutons de connexion, PA, ...
Inspiration de forum
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Margot fait le tour des forums aussi, voir ce qu'il se fait, ce qui marche bien ou non, des idées à reprendre (on a pas pour ambition de réinventer la roue).
On fait attention de tout sauvegarder, au passage. Si une idée nous plait réellement, on veut pouvoir demander aux créateurs si c'est ok et créditer plus tard.
Style graphique
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De mon côté je précise mes idées. Je commence à accepter mon obsession pour le brutalisme et l'anti-design et par chance, c'est des styles qui irait très bien à un univers post-apo. Je veux à tout prix éviter de tomber dans le style grunge qui serait l'option facile mais veillotte.
Premières bases
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Je me fixe sur une image (celle-ci à un côté abstrait tout en évoquant la nature et une sorte de moisissure, très dans le thème). Je bidouille des trucs avec la seule idée en tête que je veux quelque chose d'épuré (par flemmardise).
L'album ENSWBL de Foals a un mood parfait pour le contexte alors je m'amuse avec le titre de l'album. Puis d'un coup, pendant qu'elle m'observe sur figma (on peut stalk les gens bosser sur ce truc, a bless and curse), Margot me dit "C'EST BIEN CA".
Jusqu'à la fin de la maquettage, la deuxième bannière sera celle utilisé 💀 non centré, pas travaillé, mais eh y a l'idée.
Et c'est assez pour commencer ce que je déteste le plus : les catégories.
WHAT REMAINS
A noter : je fais ça seulement pour partager mon processus de conception (un peu overkill et loin d'être parfait). J'essaye juste de désacralisé un peu l'idée qu'on se fait des designs et partager quelques pistes de réflexion ❤
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nvminnd · 2 years ago
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Les chevaliers de Kaamelott au parc d'attraction
Arthur : À la grande surprise de tout le monde, il sait TOUT du parc. Il connaît avec précision toutes les figures de tous les coasters, il peut te dire exactement quelle musique est jouée à quel endroit, et il s'ennerve contre les gens qui prononcent mal le nom des attraction.
Perceval : Il est hyper impressionné par les connaissances d'Arthur et il lui pose des tonnes de questions sur le fonctionnement de chaque attraction. Il essaie aussi de developper avec Karadoc des techniques imperméables (imparables) pour pas faire la queue. Il se perdera dans le parc au moins 12 fois.
Karadoc : Lui il en a un peu rien à carer des attractions, mais il veut goûter à tous les snacks de tous les restaurants. On ne le verra jamais sans un machin sucré ou gras dans la main. Il ragera fortement sur la qualité médiocre de la bouffe dans les parcs.
Bohort : Il a très peur de monter dans les manèges à sensation, mais Léodagan le poussera à en tester au moins un. Il aura la peur de sa vie et passera le reste de la journée à se promener dans les decors interactifs du parc, parce que même sur les attractions type monorail ou promenade en bateau, on sait pas ce qui peut se passer. Il a l'historique de tous les accidents survenus sur le parc, au cas où. C'est aussi lui qui bombarde tout le monde de photos et qui achète le plus de souvenirs et de cadeaux.
Léodagan : De base il trouvait l'idée d'aller dans un parc vraiment merdique, mais le fait de voir Bohort sur un coaster l'a fait changer d'avis. Il est très attentif à la mécanique des manèges, et se demande s'il ne pourrait pas s'en inspirer pour une machine de guerre. Il trouve les coasters en bois particulièrement esthétiques. Il finira probablement par provoquer un incendie quelconque "par accident", histoire de tester leur système de sécurité.
Yvain : Il est carrement content d'être là, mais il le cache bien. Il se plaindra de la chaleur, du froid, de la pluie, de la marche, du monde, et des guêpes qui veulent lui piquer sa glace. Le pire moment sera cependant quand il faudra partir.
Gauvain : Lui il est content d'être là et il le montre. Il s'extasie sur chaque parcelle du décor et sautille d'attractions en attractions. Il sera le seul à prendre des photos avec les mascottes du parc. Il mettra toute la journée avant de trouver le courage necessaire pour dompter LE gros coaster qui lui fait de l'oeil depuis 3 semaines, mais il finira par y arriver.
Galessin : Il passera sa journée dans les plus gros manèges à sensations fortes, et il fera flipper tout le monde avec sa poker face à toute épreuve. Il ne criera pas, ne "whoou-ra" pas, ne sourira pas, mais à l'intérieur, il adorera la montée d'adrénaline, et le fait de pouvoir oublier ses problèmes le temps du tour. Aucune bouclette n'aura souffert de cette journée.
Calogrenant : C'est lui qui a tout organisé, et d'ailleurs, il est aussi celui qui gère le plan du parc, l'appli, les temps d'attente, l'heure de repas, les photos et les potentiels conflits quand tout le monde n'arrive pas à se mettre d'accord sur la prochaine attraction. Il est celui qui se devoue pour monter seul quand les places dans les wagons sont par paires.
Lancelot : N'est pas venu. Il ne voit pas l'interet de passer sa journée là dedans avec les même abrutis qu'il voit tous les jours. Et puis lui il aime les espaces naturels, pas les gros parcs polluants. Il sera quand même vexé si personne ne lui ramène un souvenir (Bohort lui en ramènera un)
Hervé : Lui il réalisera qu'il y avait une sortie parc d'attraction 4 jours plus tard, et seulement quand il verra qu'il n'est pas sur les photos.
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recapqsmp · 1 year ago
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Mardi 19/09 - Le passé de Bagi
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Les joueurs ont trouvé les "cadeaux" donné par la "fédération". Fit et Tina ont théorisé qui est le coupable de cette blague : un mauvais garçon un peu triste en ce moment de la disparition des œufs.
Fit a trouvé de nouveaux panneaux de Ramon caché dans le musée aux œufs. Le message complet est "Toutes les choses finissent par arriver avec le temps, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Les choses ne sont pas toujours ce à quoi elles ressemblent, elles changent en fonction du temps. Comme un arbre, nous grandissons, mais personne ne peut nous voir de l'intérieur. Comment a t-elle grandit ? A t-elle pourri, ou a t-elle changé ?"
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https://clips.twitch.tv/AstuteSarcasticChickenOpieOP-7yqmpE6xl46q9Y-r
Fred a répondu à Tubbo. Il a corrigé la citation de Technoblade que Tubbo lui avait donné, et a trouvé ça très inspirant. Il ne comprends pas pourquoi cette correspondance tient tant à cœur à Tubbo que ça, car selon lui, il y a des choses plus importantes, comme les toasts à l'avocat. Il espère tout de même que Tubbo garde ces lettres précieusement, comme lui les garde dans un coffre. Tubbo l'a remercié de l'avoir corrigé. Il l'a ensuite invité à participer à un piquenique s'il trouve le temps, car il a construit une machine qui est capable de produire autant de toast à l'avocat qu'ils peuvent en manger.
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Tubbo a montré la salle centrale du labyrinthe à Fit, lui qui ne l'avait pas encore vu. Ils ont ensuite trouvé une nouvelle porte fermée. Tubbo a remarqué que l'intersection ressemble à celle décrite sur un des dessins, et que les œufs en vie pourraient être derrière cette porte. Ils ont réussi a la traverser en glitchant à travers le mur mais ont cependant décidé de ne pas aller plus loin pour l'instant. Néanmoins, en voulant reproduire la même opération sur une autre porte, des éclairs sont apparus sur eux, les poussant à la fuite.
Fit a expliqué à Baghera la soirée d'arrivée de Bagi. Baghera a émis l'hypothèse que la roue pourrait ramener des gens sur l'île, et le numéro indiqué correspondrait à des lieux.
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https://clips.twitch.tv/BreakablePoisedLampTinyFace-lC1nUrLg5FroXt1R
Le président Forever a eu son rendez-vous hebdomadaire avec Cucurucho. Cucurucho lui a d'abord proposé ses médicaments à nouveau, mais Forever a expliqué qu'il allait bien, qu'il n'avait plus envie de faire exploser l'île, ou de faire quoi que ce soit de dégradant envers la fédération. Il a tout de même accepté la prescription de médicament de Cucurucho. Forever a demandé où en était la construction de la prison. Cucurucho a répondu que c'était en cours, mais qu'il y a eu du retard à cause de la nécessité de nettoyer les dégradations causés au spawn. Forever est ensuite allé cacher les médicaments dans sa base, au cas où il y aurait encore besoin de créer des remèdes.
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https://clips.twitch.tv/GiftedFriendlyTrayHoneyBadger-bNB0N6fymwu6HuGA
Foolish a interrogé Bad au sujet de ses tâches bleues. BadBoy a fin l'incompréhension, et a commencé à s'installer dans le dragon de Foolish, suite à son pari sur le temps que mettront les oeufs à revenir. Foolish s'est énervé contre lui car Badboy a modifié la chambre de Leo malgré ses interdictions répétées, et lui a dit de faire ce qu'il veut vu où ils en sont. Foolish est ensuite allé cacher une waystone chez Bad. Foolish a ensuite expliqué à Baghera comment il était devenu le roi des capybaras, et lui a demandé où elle était passé pendant tout ce temps. Baghera lui a dit qu'elle était tombé malade, et qu'elle avait reçu de l'aide de la fédération. Les 3 joueurs ont ensuite discuté du voleur de meubles, et des travailleurs de la fédération. Bad a expliqué faire une enquête sur eux, et vu le ton de sa phrase, Baghera le suspecte de leur faire du mal.
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https://clips.twitch.tv/ClumsyCulturedPepperMcaT-6WoSqgMQuWbXBa0z
Bagi a reçu un livre contenant des coordonnées. A son lieu de rendez-vous, elle a trouvé des affaires liés à son passé. Elle a notamment pu découvrir qu'elle passait ses anniversaires seuls, accompagné de son chat nommé Zeno. Elle se sentait mal à l'aise et incomprise à l'époque malgré sa grande famille et a perdu son chat. Elle espérait le retrouver.
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BadBoy s'est dit qu'ils pouvaient abîmer le spawn pour faire revenir les travailleurs de la fédération. Cucurucho les a surpris en pleine action, et Foolish a balancé BadBoy. Foolish a donc eu le droit d'enfin arrêter Bad. Badboy s'est défendu en accusant Baghera a son tour, mais Cucurucho ne l'a pas cru. BadBoy devait initialement se faire enfermer 10 minutes dans le musée, mais Foolish l'a convaincu de réellement l'emprisonner. Les 3 ont été emmené dans les bureaux de la fédération, et Bad s'est fait enfermer pendant 15mn dans le débarras. Forever et Bagi les ont rejoint en invisible et Bagi a finalement pu faire la connaissance de Cucurucho.. avant de se faire tuer par celui-ci. Baghera a trouvé les toilettes dans le bâtiment de la fédération et a pu récupérer une waystone dedans.
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https://www.twitch.tv/bagherajones/clip/OilySaltyMarjoramArsonNoSexy-wS3TwzkCTS2X-n4F
Bagi a ensuite fait un tour des lieux de sa maison à Baghera et BadBoy et leur a demandé si ils n'avaient pas vu son chat Zeno. BadBoy s'est demandé s'il ne s'agissait pas du chat que Cellbit a recueilli dans son château. Après avoir laissé un message chez Badboy disant qu'il est son plus grand ennemi, Bagi est allé vérifier chez Cellbit si son chat y était. En voyant qu'il était effectivement là bas, Bagi lui a laissé un message en binaire disant "Rend moi mon chat, je ne sais pas comment tu l'as eu, mais il est à moi depuis toute petite". Elle lui a laissé des coordonnées et a posé là bas un livre disant "celui qui lit ça est un con" ainsi qu'un œuf renommé "Richarlyson".
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https://clips.twitch.tv/ZealousWanderingElephantWTRuck-ld_u4wkUHjCkm00M
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bienvenuechezmoi · 1 year ago
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Aujourd'hui, samedi 16 mars 2024, 1h55.
Je comprends dans ma chair la critique de l'école. L'école du capital. Celle qui forge les travailleurs dompté de demain.
Nous sommes biberonné dès 3 ans à obéir à l'adulte, à la hiérarchie, à la personne qui a le pouvoir dans la pièce. Par la violence ou non. Par la pression du groupe, par l'humiliation verbale mais aussi symbolique de la note ou par la récompense positive, les gommettes, les compliments, la reconnaissance d'un statut.
J'ai toujours compris théoriquement cette critique de notre domptage par l'école mais je la contrebalançais par "quand même c'est le système le moins pire pour apprendre au plus grand nombre à lire et écrire". Évidemment, l'école n'a pas était un fardeau pour moi. Je ne trouvais pas ça cool mais pas horrible non plus. Je remercie mes facilités pour avoir franchement pas branlé grand chose sans redoubler. Je n'étais pas là plus grande flèche de la famille, mais bon tranquille ça passe.
Cependant on ne sort pas indemne psychologiquement de 15 ans d'école nationale. On a appris à fermer sa gueule et à s'assoir pendant des heures durant.
Je pense que l'expérience est différente pour les etiquettés "bons élèves" et les "mauvais élèves". En tant que "bon élève" on a l'habitude de la récompense, de se sentir récompenser de façon régulière. Les "mauvais élèves" apprennent l'humiliation et les violences d'un milieu qui ne veut pas les voir exister pourtant ils y resteront pendant des années. Des années qui ont voulu les écraser jour après jours. Soit tu t'ecrase et tu apprends très jeune que tu ne vaux rien, soit tu rejettes la hiérarchie et tu slalomes entre les danger pour que ton corps et ton esprit survive. Tu apprends à te battre contre la hiérarchie qui te méprise et reconnaître ta valeur par toi même et non à travers les autres (évidemment le trauma n'est pas loin).
J'en viens au fait que le "mauvais éleve" a déjà appris a survivre dans un milieu hostile et à dire aux gens d'aller se faire foutre et ça va lui être très utile pour la suite de la vie. Alors que le "bon élève" a été biberonné a recevoir sa récompense de la hiérarchie. Il l'a veut de ton son être.
Puis le "bon élève" fini ses études et trouve un travail, sauf qu'il est toujours matrixé par sa récompense sociétale de sa place de bon élève. Malheureusement pour le "bon élève", l'école était un lieu qui se pense à minima en ayant un but louable d'éducation ce qui n'est pas le cas de l'entreprise. L'entreprise, elle, est très clair sur son but "on est là pour faire de la thune" et je souhaiterai ajouter à ce slogan "même si on doit en écraser sur le chemin". Le "bon élève"" se retrouve alors à se faire rouler dessus par les entreprises, car c'est ce qu'on lui a appris toute sa vie donc il l'applique. Il l'applique, et l'entreprise l'en remercie et utilise cette faiblesse, que dis-je cette apprentissage de la soumission encore et encore (jusqu'à atteindre 44% de stress psychologique au travail).
Tout ça pour dire que l'école nous dompte poir que l'on se fasse plus facilement écraser par les entreprises. On nous a appris à fermé sa gueule et à dire oui. Et quand on t'a appris toute ta vie à faire ça et que jusqu'à présent ce système ta toujours à peu près convenu la réalité de l'entreprise est violente.
Je rappelle un burn out au bout d'un 1 an mais ma manger est "ravie de mon travail". Je crois j'ai compris.
Surtout ne vous demandez pas pourquoi les conventions collectives des secteurs où il n'y a que des cadres sont éclatés.
Et pour côtoyer des vieux cadres ils sont complètement matrixés par leur travail c'est une dinguerie.
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camisoledadparis · 2 months ago
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saga: Soumission & Domination 366
Autre semaine d'août, préparation & départ aux USA
Comme la triplette insiste, nous débarquons chez les parents de Ludovic pour quelques jours.
Ces derniers sont contents de nous voir. Monsieur nous confie que ça va même les changer un peu des trois faces hilares qu'ils ont continuellement sous les yeux.
La piscine installée avant l'été donne toute satisfaction et Ludovic me dit qu'il n'avait jamais vu ses parents aussi détendu depuis longtemps. Bien qu'ils dépensent beaucoup d'énergie à faire l'amour, les gamins en ont encore pour aider efficacement le paternel aux travaux de la ferme. Nous aussi nous mettons la main à la pâte et le travail est rapidement expédié.
Le temps gagné n'est pas perdu car la triplette nous entraine dans tous les coins où ils ont baisé sans nous. Côme nous accompagne.
S'il ne s'intéresse pas particulièrement à la triplette, quand nous sommes là (PH, Ernesto, Ludovic et moi) c'est différent. Entre deux plans, il m'avoue que Jona et François lui manquent plus qu'il ne l'avait envisagé avant l'été. On discute un bon moment. Il me parle des quelques meufs qu'il a sauté pendant son stage et me dit qu'il a eu les mêmes sensations que quand il taffe pour moi. C'est bon, il éjacule mais ça n'a pas l'intensité de ses rapports avec mes deux Escorts. Ça l'inquiète un peu.
Je tempère en lui disant que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne. Il veut y croire.
En attendant il n'hésite pas à faire l'amour avec nous tous, même si c'est plutôt avec les plus âgés (Ernesto, PH et moi) qu'il prend son pied.
Les parents se doutent bien que nos " escapades " qui les laissent seuls plusieurs heures ne se limitent pas à nous promener dans les bois environnants, mais ils nous laissent libres et ne posent pas de questions. Quand nous revenons, nous sautons dans l'eau avant de nous étaler sur la pelouse pour entretenir notre bronzage.
Des amies de madame venues prendre le thé alors que nous étions tous là, l'ont admirée de s'occuper ainsi d'une bande d'ados aussi nombreux. C'est vrai que nous sommes 8 et aucun petit format ! Et sans se vanter, tous plus canons les uns que les autres même si la fratrie locale est quand même un cran au-dessus des autres.
Enguerrand me confie qu'il a l'impression que depuis tous les changements (coming out de Ludovic, ses propres aveux et l'acceptation des amis/amants), ses parents se remettent à faire l'amour plus souvent. Il m'explique que plusieurs nuits, alors qu'il allait aux WC après avoir fait l'amour avec ses 2 complices, il les a entendu " s'agiter " dans leur chambre !
Je le traite de petit vicieux et lui dis de laisser ses vieux tranquilles.
Nous passons la semaine entière alors que seuls 3/4 jours étaient prévus. Mais les parents insistent pour que nous restions. Le soir, avant d'aller faire l'amour encore une fois, nous passons de bons moments. Les plus jeunes s'affrontent sur PlayStation alors que nous apprenons à jouer au bridge sous la direction des parents. J'aime ce jeu. Entre les annonces et le jeu de la carte, c'est passionnant ! Côme et Ludovic nous aident bien sur ce coup, ils y jouent depuis 4/5 ans déjà.
Une semaine atypique même si coté sexe nous n'avons pas laissé notre part au chien ! Ce qui me surprend le plus, c'est que finalement je me fais bien à cette ambiance " famille " !!
Plus d'une fois nous avons aussi passé nos nuits " mélangés ". Dans ces cas-là, c'est plutôt Enguerrand qui s'endort dans mes bras ! Même si j'aime aussi faire l'amour avec Max et Nathan, j'ai une tendresse particulière pour mon petit beau-frère. Je crois qu'il me le rend bien !
Comme nous ne sommes pas des plus discrets, nous avons droit, de la part du père le lendemain matin, à un " bien dormis les garçons ? " un peu ironique.
Pour ma dernière année d'étude, je dois passer 6 mois dans une université à l'étranger. Les USA me tentent et bien sûr la côte ouest. Entre l'Université de San Francisco, privée et Berkeley je préférais la seconde. J'ai eu la chance que mon dossier passe pour l'UCB (Berkeley). Bon il est vrai que j'avais un appui de choix avec Henri qui y a passé quelques années dans son cursus d'études.
J'intégrerai le master d'ingénierie financière de l'école de business.
Alors que je voulais louer une maison dans Castro et une voiture pour aller à l'université, Henri m'en a dissuadé et m'a dit de rester sur le campus. Comme ça je m'intégrerais plus facilement. Je me débrouille de l'inscription et des détails matériels, mais il s'est chargé du reste. En l'occurrence, il a repris contact avec d'anciens collègues et en a trouvé un dont un fils sera à l'université en même temps que moi.
Je prends contact avec lui par Skype. Il a deux ans de moins que moi mais, nageur de l'équipe de natation/plongeon, il est déjà méchamment tanké ! Tyler est plutôt beau gosse. Brun cheveux courts, il a les épaules larges et le bassin étroit. Imberbe et/ou rasé, son maillot semble bien rempli ! (skype sur le bord de la piscine ^^).
 On passe pas mal de temps à échanger sur les 6 mois à venir. Il dédramatise le super niveau de l'université et me dit qu'avec un peu de travail et la participation à une équipe sportive, je devrais m'intégrer sans soucis. En plus c'est une université qui accueille bon nombre d'étrangers de tous pays.
Pour ne rien cacher, je lui fais part de mon orientation sexuelle. Il m'assure qu'avec San Francisco de l'autre côté de la baie, je n'aurai aucun mal à trouver des partenaires surtout avec ma gueule !
Quand PH et Ludovic entendent ça, ils hurlent que je n'ai pas intérêt à les oublier. Cela me vaut quelques explications avec Tyler qui rigole de ma situation. Après la surprise, il a trouvé très amusant mon " cas ".
Il me dit d'arriver une semaine avant ma " rentrée " cela me permettra de prendre le rythme. Quand je lui dis qu'il me faudra une caisse, il me dit qu'on s'en chargera alors.
Finalement je débarque aux USA à 6 !! Henri en profite pour renouer avec son collègue (Matthew), bien sûr Kev est du voyage. Quand à mes trois amours (PH, Ernesto et Ludovic), ils veulent savoir où je mets les pieds.
Vol direct Paris San Francisco, nous sommes attendus par Tyler qui nous emmène directement chez son père en plein San Francisco dans Pacific Heights. La " villa " est immense et notre venue ne dérange pas nos hôtes. Située haut sur la colline, elle surplombe la baie et nous pouvons voir le Golden Gate et Alcatraz. Les lits King Size qui meublent les chambres nous permettent sans mal de dormir à plus de 2 !!
Le père de Tyler est aussi sympathique que lui et d'une simplicité d'abord inconnue en Europe à ce niveau de fortune. Nous sommes reçus à bras ouverts. Lui est très content de renouer avec son ancien coturne d'université et ils passent un bon moment à mettre à jours leurs actualités. Tyler, lui, nous entraine à la piscine. En réel aussi il est beau mec !! A ses cotés je ne fais pas microbe quand même. Il est lui-même étonné de nos physiques musclés. Dans l'eau nous ne sommes pas ridicules et il me propose même de me faire inscrire dans son sport. Il nous montre aussi la salle de muscu qu'il a installé derrière le garage.
Ça, on verra plus tard.
Le lendemain, Tyler nous fais visiter (aux jeunes) le campus et nous montre même le bâtiment où il sera cette année. Quand on revient, nous traversons San Francisco et il nous montre quelques sites particuliers, Télégraph Hill, les quais avec les phoques...
Un matin il nous emmène petit déjeuner chez Dottie's. Le Restaurant très connu, spécialisé en petit déjeuner est fréquenté aussi bien par les autochtones que les touristes. Trop bons les muffins et les pancakes, Au moins 3000 Calories !! Puis on file sur le Pacifique.
Le style Victorien les maisons laisse place à l'influence Mexicaine ! Le temps est couvert et l'océan pas très chaud !! La plage est immense mais peu utilisée et surtout par les surfeurs ! Dans l'après-midi, nous découvrons Castro le quartier plus spécifiquement Homo. En se baladant à pied, nous croisons quelques couples d'hommes avec de jeunes enfants dans les bras.
J'aime beaucoup ce style de quartier, maisons victoriennes de toutes les couleurs, jardinets et parcs sur chaque éminence.
Le soir nous retrouvons les " vieux ". Henri a rajeuni, Matthew et lui se sont affrontés au golf et il a gagné. Matthew m'annonce que comme " généreux donateur " de l'université, il a réussi à me faire loger dans le même bâtiment que son fils. Comme ça je serais encore plus intégré qu'à l'International House où sont en général logés les étudiants étrangers.
On s'isole tous les trois, avec Henri, pour parler business. Sur ses conseils, j'explique à Matthew mon petit commerce avec chiffres à l'appui. Il est plus surpris du CA que j'ai développé que du " produit " offert. Quand je lui parle de la succursale de Barcelone, gérée par Ernesto, il est amusé par mon culot ! Ça plus le fait que je sois le " fils " d'Emma dont il connait les sociétés, me pose plus que l'école que je suis.
C'est avec lui que j'aborde la question du véhicule. J'hésite entre une deux places et une berline pour quand mes amis viendront me rejoindre. Henri s'amuse et dit à notre hôte que je suis habitué au luxe avec ma Mercedes SLS. Matthew me dit que son cabriolet Tesla devrait alors me plaire. Je serai bien difficile de dire non ! Je sais qu'ils sont très " écolos " dans ce coin des Etats Unis et que les voitures électriques sont plus nombreuses dans cette ville. Il m'assure qu'il ne l'utilise plus et que Tyler à la sienne propre. Il ajoute que comme ça son fils ne sera plus un des seuls avec ce type de voiture sur le campus.
Quant aux visites de mes amis, il considèrerait comme une injure qu'ils descendent ailleurs que chez lui.
Quand on rejoint les autres et qu'ils apprennent ça, ils n'en sont même pas étonnés ! Tyler nous emmène au garage voir le bolide. Il est garé juste à côté du sien. Là mes amis sont bouches bée.
Alors qu'Henri et Kev sont déjà partis et avant que mes amis me quittent, Tyler organise un BBQ pour me faire connaitre quelques-uns (25 !) de ses amis.
Ils arrivent tous en shorts de surf et marcel large. Nous contrastons avec nos tenues plutôt moulantes. Sans moquerie, ils nous en font la remarque. Je repère rapidement les 5 Homos présents, même s'il n'y a aucune différence de comportement entre tous.
Avec l'avancée de la soirée et l'alcoolisation modérée, ils se rapprochent de nous. Sans entrer dans une étude comparative de la vie homosexuelle de chaque côté de l'atlantique, nous échangeons quand même. Ils ont un peu de mal avec ma vision de la chose et le fait que mes trois amis sont aussi mes trois amours et amants !!
Quand PH leur dit que notre relation ne s'entrave pas d'une fidélité absurde, ils trouvent cela finalement très intéressant ! Cela se traduit par un intérêt pour chacun d'entre nous plus " visible " !!
Les hétéros du groupe ne prennent pas ça mal et jalousent même un peu leurs amis qui eux ont des " possibilités " alors qu'ils resteront secs de leur côté.
Moi je trouve mon bonheur avec un des gays. Je ne sais pourquoi mais c'est le plus baraqué. De ma taille, il est aussi large d'épaule que moi mais blond très clair. Ses pecs lisses sont ornés de gros tétons qui me fascinent. Ça plus le paquet qui arrive à repousser le tissus pourtant lâche de son longboard m'ont attiré assez vite. Mais je ne peux m'empêcher de mater aussi un des hétéros !!! Je ne me refais pas !
Mon nouvel ami s'en aperçoit et me dit de ne pas me faire d'illusion, c'est le plus hétéro de tout le groupe présent. Qu'il valait mieux que je fasse une croix dessus tout de suite car comme ils sont tous à Berkeley, j'aurais l'occasion de le recroiser. Il me demande en quel sport j'allais m'inscrire. On échange sur ce sujet et j'ai le plaisir d'apprendre que lui-même est dans la section arts martiaux. Il arrive à me tirer la promesse de passer les voir alors que je lui dis aussi mon envie de suivre Tyler à son club de natation.
Avant qu'ils ne partent tous, je ne peux m'empêcher de faire un aparté avec lui (Dane). On s'isole dans la salle de muscu et là, il se transforme en tornade !! On se retrouve à poil avant même d'avoir atteint le centre de la pièce et je me retrouve propulsé sur un banc avec ma queue dans sa bouche. Ok je ne suis pas son premier et sa gorge a déjà vu passer des glands !
Je repousse sa tête le temps de lui dire de se mettre en 69 et à mon tour je fais connaissance avec la sienne. Superbe !! Bien droite et rose pale, circoncise, elle laisse découvert un gros gland rond et juste une teinte plus foncée. De belles couilles lisses me tombent sur les yeux alors qu'il me défonce la gorge. A la vue de l'occupation de cette dernière j'opte pour un bon 22x6. Il me semble prendre autant de place que le sexe de mon Marc.
On se fait plaisir un bon moment, limite si on n'était pas à démontrer que l'on était meilleur que l'autre !!
Intermède pelle, palpation... j'aime ses pecs bien fermes, ses tétons gonflés roulent sous ma langue et il réagit violemment, de plaisir bien sûr !
Petit flottement le temps de savoir qui va se prendre l'autre en premier. Privilège de l'invité, je suis le premier actif. Rondelle aussi lisse que ses couilles, rose pâle et joliment plissée, je la travaille à la langue avant d'y enfiler mes 20x5. Si elle me paraissait serrée tant que je la lubrifiais, elle sait s'ouvrir sous la poussée de mes reins. En levrette, son dos large sous mes yeux m'excite et je ne peux m'empêcher de poser mes mains sur ses épaules et, sèchement, de m'assurer que plus rien de reste dehors de ma bite. Je le lime un bon moment avant que l'on échange les places.
Je choisi de me mettre sur le dos. J'attrape mes pieds et écarte mes jambes tout en relevant mon cul pour le mettre à la bonne hauteur. Il s'agenouille entre et s'enfonce en moi. Quand il est bien au fond je plie les jambes sur ses reins pour le retenir quelques instants avant de le libérer. Il sait y faire lui aussi et me défonce royalement. Comme mon excitation monte, je l'attrape par le cou, lui roule un patin puis me met à juter entre nos abdos. Ma rondelle se contracte à chaque éjaculation et stoppe ses va et vient. Il ne tient pas longtemps et rempli sa kpote en grognant.
Quand on retrouve les autres, notre absence a été remarquée !!
PH m'attrape et me demande si les " indigènes sont bons ". Je lui réponds qu'ils se défendent ! Dane qui était dans mon dos me pousse d'un coup de bassin dans les fesses et répond à PH qu'il n'a pas tiré un mauvais numéro lui non plus (en parlant de moi).
Les hétéros nous quittent alors que Tyler nous autorise et nous pousse à partouzer avec ses potes homos. Ce que j'apprends c'est qu'ils lui avaient tous demandé ce " service " afin de gouter du Frenchie
Par commodité et discrétion (rapport au paternel tolérant mais qui ne tient pas à ce qu'on s'encule devant ses yeux), nous investissons la salle de muscu. Les bancs sont poussés contre les murs avant qu'on s'en serve et ça démarre chaudement.
Je bande dur, même si je me suis vidé il n'y a pas longtemps et c'est pareil pour Dane. Tous à poil, y'a rien à jeter ! Nos " amis " sont aussi sportifs que nous et aussi peu velus ! Je fais la connaissance plus intime des 4 autres invités. Beaux culs et bites généreuses ça va le faire !
Alors que Tyler allait nous laisser, je l'attrape et, aidé de 2 autres américains, lui arrache le short qui masquait sa queue raide. Je remarque tout haut comme quoi il bande dur devant des mecs à poil pour un hétéro. Il rit et me dit être plutôt dans la catégorie Bi.
Mes amours sont déjà en main et goutent l'échantillon local. Les 24cm d'Ernesto font leurs petits effets et ils se mettent à 2 pour les honorer.
Nos prépuces les interpellent alors que le fait qu'ils soient tous circoncis ne nous étonne pas.
 Je me choppe le plus léger afin de délirer dans des positions moins classiques. Il fait quand même bien ses 70Kg et je me fatigue vite ! Il n'empêche que j'ai pu l'enculer en porté debout. Ses jambes autour de ma taille, il s'est appuyé sur mes hanches pour de lui-même monter et descendre sur ma bite. C'est ça qui est bien avec les sportifs c'est que musculairement ils suivent.
Je l'ai quand même fini, lui dos à l'espalier, les mains accrochées au barreau le plus haut, ses jambes relevées sur mes épaules, mes mains sous ses fesses pour assurer la bonne hauteur de sodo. Sa rondelle musclée à fait son effet sur mes 20x5 et j'ai rempli ma kpote. Comme le bon garçon que je suis, j'ai attendu qu'il nous tapisse les abdos de sa " crème " avant de me laisser aller.
Retour sur terre de mon partenaire un peu flageolant.
Je matte autour. Tyler se fait défoncer en levrette par mon PH à moi. D'après ses cris, je pense qu'il y prend du plaisir. Ernesto se termine dans le cul d'un autochtone qui brame à qui veut l'entendre qu'il n'a jamais connu ça.
Comme si nous allions le croire !!
Jardinier
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new year's life savers boat race
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claudehenrion · 1 year ago
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Le Gorafi
Le Figaro d'hier (le jeudi 16 novembre 2023) étalait fièrement, sur sa première page, un titre qui m'a presque donné la nausée : ''Ces mineurs qui basculent dans le terrorisme islamique'', avec une suite du même tonneau : ''Depuis le mois de janvier, plus de la moitié des mis en cause dans de telles affaires (NDLR - en français : le terrorisme islamique, et rien d'autre) ont moins de 18 ans. Si ce phénomène (même ''traduction'') remonte au début des années 2010, il s'accentue et inquiète les spécialistes''. Cette logorrhée est consternante !
Osons une expression dite populaire : ''Faut oser, tout de même'' ! Car pas un seul mot de cette fausse philippique n'est acceptable. D'abord et par définition, les ânes bâtés qui découvrent aujourd'hui cette situation ne peuvent en aucun cas prétendre au titre de ''spécialistes'' : tout cela était visible depuis dix ou quinze ans, et nous étions un nombre certain à le répéter à longueur d'écrit ou de parole publique (Rien qu'en ce qui me concerne, moi qui suis une goutte d'eau, je tiens à la disposition de qui le voudrait les nombreuses ''mises en garde'' que j'ai publiées dans pas mal de périodiques puis sur ce Blog, et que j'ai répétées à l'envi dans encore plus de conférences dans de nombreux cercles, depuis des décennies et devant des auditoires très variés...
Avant d'aller plus loin, il faut insister sur une idée-force qui est devenue un descriptif des temps actuels : personne n'a le droit de dire ''On ne savait pas'' : c'est refuser de voir le nez au milieu de la figure. (NDLR – vous me direz que entre le covid, l'Ukraine et le Moyen Orient, on sait ce que camoufle souvent le mot spécialiste ou expert : le vide, le néant... ou la désinformation !).
Quant au reste de cette bouleversante ''breaking news''... je ne sais pas s'il faut penser à un gag, à du ''foutage de gueules'', à un étalage de bêtise concentrée, ou à un aveuglement systémique... Mais réveillez-vous, ô membres de la con-frérie (je ne peut me résoudre à ne pas écrire ça en deux mots !) des journalistes myopissimes (ou ''de gauche'', c'est la même chose) ! Tout le monde sait ça (aux variantes près : devrait savoir/ fait semblant de ne pas savoir / veut absolument oublier / sait, mais déteste l'idée... etc !) : le temps, par notre faute, joue en faveur de ce basculement de la normalité vers l'anormalité, de la raison vers la folie et, en fin de compte, de la vie vers l'islamisme...
Cela fait des décennies que des esprits malfaisants tentent de nous persuader que nous devrions avoir honte d'être ''blancs'' (ce seul critère étant la preuve, ressassent-ils, de notre culpabilité ontologique, de notre racisme congénital -c'est un comble !- et de notre islamophobie chronique). Au début de cette mode mortifère, sous Chirac par exemple, c'était ''à bas bruit'', comme ils disent (NB – il faut reconnaître que c'est une des rares mauvaises idées que Mitterrand n'ait pas mise en œuvre). Sous Sarkozy, la France a semblé faire une courte cure de bon sens, mais avec le retour de l'idéologie de gauche, Hollande a pu s'en donner à cœur joie, et la présence au gouvernement de 2 ou 3 ministresses vraiment mal intentionnées envers la France a accéléré le mouvement... qui a acquis ses lettres de noblesse avec Macron. Là, ce n'était plus des ministres, c'était le chef suprême, qui donne le ''LA'' !
Et il faut reconnaître à notre Président de la constance pour décrire une France (a)- nulle(elle n'aurait, d'après lui, même pas de culture, seule nation au monde à être dans ce cas !), (b)- coupable, car la colonisation serait un ''crime contre l'humanité'' (sic ! Il faut lui acheter des livres sur la Shoah, sur le goulag, sur le lao-gaî, sur les tortures du FLN, sur Daesh et l'EI, sur les khmers rouges, sur le sort de nos pauvres Harkis, etc...), (c)- et des français ''gaulois réfractaires''(sous-entendu : à ce qu'il imagine être le progrès, qui n'est que la perte de l'âme), et paresseux (ils seraient même incapables de traverser la rue !)... Bref, un peuple auquel personne n'aurait envie de s'identifier, dans un pays qui n'est que vices, mensonges, erreurs, vols, tortures, abus, fautes, et décadence, ontologique elle aussi...
Au lieu de s'étonner (et, pour les occupants de nos palais nationaux, de ''péter'' de trouille –pardon, mais c'est le seul mot qui me vient devant leurs réactions tremblotantes face au mot ''islam'' qu'ils n'osent même plus prononcer-- sur l'évolution structurellement anti-française d'une partie (en augmentation constante, mais ça non plus, il ne faut pas le dire) de la jeunesse d'origine ''arabe'', qui vit dans des enclaves où c'est la Charia'a qui est la seule loi et où ''la République'' ne s'aventure plus tout en affirmant le contraire, nos dirigeants feraient bien mieux –(1)- de faire leur mea culpa(eux seuls, avec leurs mensonges éhontés, sont responsables de la situation qu'ils déplorent) et (2)- de changer de discours et de se mettre enfin à dire la vérité : pas plus qu'on n'attrape les mouches avec du vinaigre, on ne fera aimer la France en la rendant –et mensongèrement, en plus-- détestable.
Or –on doit le déplorer-- le jeu favori de notre Président semble être d'aller critiquer la France, son œuvre magnifique, et les français, dans les diverses capitales de nos ex-colonies, et à Alger tout particulièrement, où les enragés boivent du petit lait... alors que aucun de ces pays n'avait existé avant notre présence et qu'aucun n'aurait jamais existé sans elle... et qu'ils nous le reprochent aujourd'hui. Il semble adorer taper sur l’œuvre grandiose de nos colonisateurs, ces véritables géants d'une véritable épopée : la construction ex nihilo de dizaines de pays, de sentiment patriotique créé de la main du colonisateur, de drapeaux et d'hymnes nationaux (un exemple qui me touche au cœur : le An-našid Al-waṭani, l'hymne national marocain (= le berceau des hommes libres. Tout un programme !), a été composé par le capitaine Léo Morgan, chef de musique de la ''Garde noire'' du sultan, sur ordre du Maréchal Lyautey lui-même)... ''Crime contre l'humanité'', avez-vous dit, Monsieur le Président ? Mais qu'est-ce qui peut vous faire inventer de tels bobards, grands dieux ?
Car il ne faudrait pas, non plus, oublier les hôpitaux, les routes, les infrastructures, les écoles, les aéroports, les dispensaires, le niveau de vie des populations, l'arrêt brutal d'un esclavage endémique... et l'industrialisation (exemple : les statuts de toutes les grandes sociétés qui ont permis au Maroc moderne d'être ce qu'il est –chemin de fer, autocars, phosphates (premier pays au monde, ''Excusez du peu'' !), etc--... ont été rédigés par mon Père, premier notaire du Maroc et ami de Lyautey, et n'ont pas été changés depuis !). Tu parles d'un ''crime contre l'humanité'' !
Ah ! Si on veut chercher la petite bête, on va pouvoir effectivement trouver des exactions, des brutalités, des malversations... mais en quantités guère supérieures à ce que pratiquent, en permanence, le reste de l'humanité et la France, de plus en plus mal classée en ce qui concerne les atteintes aux personnes et la corruption ! Il était cent fois moins dangereux pour un ''colonisé'' de se promener dans son pays soumis à la Pax franca qu'il ne l'est à un ''blanc'' de se balader dans n'importe lequel des quartiers ''libérés'' de notre férule –à les en croire.
La question suivante est, évidemment : ''Au nom de quoi l'entreprise coloniale devrait-elle être la seule occupation humaine à ne pas connaître le péché ?''. On se demande où nos énarques, dont l'inculture abyssale –et même encore plus sale que ça, si j'ose ce mauvais jeu de mots-- est tellement biaisée à gauche, ont pu trouver les bobards qui forment la relecture malhonnête de l'histoire qu'ils nous imposent... et qui ne peut nous mener –et l'Europe, voire le monde, avec nous--, qu'à une ''méga cata'' de taille XXL... vers laquelle nous sommes en route, hélas !
Et le Figaro, décidément digne de son pastiche le Gorafi, de s'étonner de découvrir, avec un petit demi-siècle de retard, une des conséquences ''énièmes'' d'un drame qu'il a largement co-contribué à fabriquer en ne hurlant pas d'horreur à chacun des dérapages volontaires de nos nuls... qui refusent, encore et toujours, de désigner nos ennemis par leur nom et nos perspectives –sombres, toutes-- comme elles devraient l'être. Pour rester dans le langage parlé ''on est mal barrés'' !
H-Cl.
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christophe76460 · 1 year ago
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Il y a quatre petits animaux sur la terre, qui, pourtant, sont remplis de sagesse : les fourmis, qui forment un peuple faible, mais qui préparent leur nourriture pendant l’été, les damans qui n’ont guère de force, mais qui établissent leur demeure dans les rochers, les sauterelles qui, sans avoir de roi, s’avancent toutes en bataillons rangés, et le lézard qu’on attrape à la main et qui pénètre dans les palais des rois (Proverbes 30:24-28).
Ces quatre petits animaux montrent que la faiblesse physique peut être compensée et que Dieu s’occupe du bien-être de toutes ses créatures. Les fourmis sont engourdies pendant l’hiver, mais durant l’été elles travaillent dur et de concert afin d’engranger un maximum de provisions pour la mauvaise saison. Un proverbe précédent dit :
Toi qui es paresseux, va donc voir la fourmi, observe son comportement et tu apprendras la sagesse. Elle n’a ni surveillant, ni contremaître, ni chef. Durant l’été, elle prépare sa nourriture, au temps de la moisson, elle amasse ses provisions (Proverbes 6:6-8).
Les fourmis illustrent l’ardeur au travail. Elles ne s’arrêtent jamais et comme porteurs, on ne fait pas mieux ; des charges 3 fois plus grosses qu’elles ne les impressionnent pas. La fourmi est aussi un modèle de prévoyance. Elle enseigne que nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour préparer l’avenir. Cela veut dire acheter des contrats qui nous prémunissent contre les aléas de l’existence et mettre de l’argent de côté en cas de pépin. Mais à un autre niveau, il est bien plus important d’assurer son éternité, car une fois arrivé de l’autre côté, il est trop tard pour changer le cours des choses et aucune marche arrière n’est possible.
Nous sommes ici-bas pour très peu de temps, mais serons dans l’au-delà à tout jamais. La plus grande folie que quelqu’un puisse commettre est de bichonner son corps et de négliger son âme. Il est insensé de ne faire aucune préparation pour l’éternité. Sur son lit de mort, l’empereur romain Hadrien (76-138) aurait dit :
Plus de couronnes pour ma tête, plus de beauté pour mes yeux, plus de musique pour mes oreilles et plus d’aliments pour mon estomac. Mais mon âme, ô mon âme, que vas-tu devenir ?
Dans un texte de l’Ancien Testament, on lit :
Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu (Amos 4:12).
Et dans le Nouveau :
Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement (Hébreux 9:27).
Gros comme des lapins, les damans sont des mammifères au poil long, à la queue courte et aux oreilles arrondies. Ils faisaient partie des animaux impurs qu’on ne devait pas manger. Totalement sans défense, ils échappent aux prédateurs en se cachant dans les creux des rochers (Lévitique 11:5; Psaume 104:18).
Comme le daman, l’homme est faible et impur devant Dieu. C’est pour cela qu’il a besoin d’un Sauveur et d’un refuge. David a écrit :
Sois pour moi un rocher protecteur, une forteresse, Où je trouve mon salut ! (Psaume 31:2).
Biens qu’elles n’aient pas de chefs, les sauterelles font bloc ensemble dans leur marche imperturbable. Méthodiques et disciplinées, on dirait qu’elles obéissent toutes au même général invisible. Je cite un passage :
Les voilà qui se précipitent comme de vrais guerriers, et, comme des soldats, escaladent la muraille. Chacune va son chemin sans dévier de sa route (Joël 2:7).
Comme les sauterelles, les croyants sont unis entre eux par le lien du Saint-Esprit et ont un chef qu’ils ne voient pas, Jésus-Christ qui est dans les cieux, et à qui ils doivent une allégeance totale.
Le lézard est chétif et inoffensif, mais sa souplesse lui permet de s’introduire dans les plus petits interstices des plus belles demeures. Grâce à ses pattes munies de ventouses ou qui exhibent une substance collante, il peut s’accrocher à n’importe quelle surface, sur une paroi lisse ou au plafond. Pareillement, la foi saisit, s’attache, se cramponne à Dieu et à ses promesses en toute circonstance. Je lis un passage :
Je sais en qui j’ai mis ma confiance et j’ai la ferme conviction qu’il est assez puissant pour garder tout ce qu’il m’a confié jusqu’au jour du jugement (2Timothée 1:12).
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Il y a trois choses qui ont une belle démarche et même quatre qui ont fière allure : le lion, le plus brave des animaux, qui ne recule devant personne, le (cheval) aux reins solides, le bouc, et une armée en marche (Proverbes 30:29-31).
Ces quatre choses contrastent avec les précédentes parce qu’elles ont belle allure et une apparence noble. Le lion a une prestance magnifique, et parce qu’il n’a peur de rien, on l’a surnommé le roi des animaux. Je lis un passage :
Lorsque le lion ou le petit du lion défend sa proie en rugissant, la foule des bergers appelés contre lui a beau pousser des cris, ils ne l’effrayeront pas. Et leur tapage ne le troublera pas (Esaïe 31:4).
C’est une image du croyant idéal. Alors qu’il était persécuté à mort, l’apôtre Paul a dit :
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié : proclamer la Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu (Actes 20:24).
Tout comme Bayard, Oliver Cromwell était un chevalier sans peur et sans reproche. On lui demanda un jour l’origine de son courage. Il a répondu :
J’ai appris que si vous avez une crainte respectueuse de Dieu, vous ne craignez aucun homme.
Le cheval à la courbe souple de ses flancs puissants est taillé pour la course. Il fait penser à un passage du Nouveau Testament qui dit :
Débarrassons-nous de tout fardeau, et du péché qui nous cerne si facilement de tous côtés, et courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée (Hébreux 12:1).
Le bouc aime grimper sur les hauteurs ; un prophète se compare à lui. Je lis le passage :
J’exulterai de joie à cause du Dieu qui me sauve. L’Éternel, le Seigneur, c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils à ceux des boucs, il me fait cheminer sur les lieux élevés (Habakuk 3:18-19).
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Si tu as été assez fou pour te vanter, ou si tu as eu de mauvais desseins, tais-toi désormais, car en battant la crème, on produit du beurre, en frappant le nez, on fait jaillir du sang, et en laissant exploser sa colère, on provoque des disputes (Proverbes 30:32-33).
Quand le mal est fait en paroles, il faut vite fermer son clapet avant que le ton monte et que la discussion s’envenime.
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kelthoumrambles · 2 months ago
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About R. 🪷
Il y a des années, à l'univ, j'ai rencontré une fille. J'étais à une soirée techno avec mon pote le russe. Dans mes souvenirs, c'est elle qui est venue me parler en premier mais il est possible que ma mémoire me joue des tours. Elle était si belle (ma main a coupé qu'elle l'est toujours d'ailleurs)... On était toutes les deux fascinée par la beauté de l'autre. Elle est beaucoup plus petite que moi, plus jeune aussi. Elle ressemble à une sirène mystérieuse et ésotérique (xD). À l'époque, elle avait de longs cheveux bouclés et elle était toute mince, extrêmement mince... Une beauté vraiment spéciale, douce. On s'est donc rencontré à cette soirée. Elle me suivait partout haha, je m'en souviens.
On s'est revu par la suite. Elle m'a très rapidement fait comprendre que je lui plaisais. On allait se promener dans les parcs et on parlait pendant des heures... Je ne l'ai jamais vu beaucoup manger. Le truc c'est que, à l'époque, j'étais méga messy, oh boii. How messy I was. Je jouais beaucoup trop avec les sentiments des autres, bien que je ne le faisais pas exprès. J'avais déjà des soucis d'addiction et je menais une double vie à du 3000%. Et puis, j'étais trop obssessed avec de bêtes mecs qui s'en foutaient royalement de moi (humm...) et on a donc fini par perdre contact lorsqu'elle est partie vivre dans une autre ville.
Puis, un jour, on s'est recontacté, environ 2-3 ans plus tard. J'étais méga contente. Il faut savoir que R. me confrontait dans ma sexualité, alors que je n'étais pas encore prête à me poser certaines questions ou plutôt à faire lumière sur mon attirance assez évidente envers les femmes.. Encore aujourd'hui, ça me dérange et je répète à qui veut l'entendre "s'il y a bien une chose sûre à propos de moi c'est que je suis hetero" (xD). R. a pris la route pendant des heures pour venir me voir. Je l'ai accueillie chez moi, super, sauf que .... je sortais avec un mec et on habitait ensemble (#looseuse ^^) mais R. a quand même décidé de rester le week-end. Lorsque je lui ai dit (ou devrais-je dire avoué) que j'étais avec ce gars et donc hetero, elle a juste réagi en mode
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Mes potes étaient tous méga intimidé par R. Haha. Elle ne se laissait jamais toucher par un mec. Le plus qu'elle pouvait faire était de leur serrer la main. Je souris en écrivant ces lignes. À la fin du weekend, je l'ai raccompagné à sa voiture et nous nous sommes embrassé. J'étais tellement mais tellement maladroite... On est resté en contact tout un temps mais communiquer par téléphone n'a jamais, ô grand jamais, été mon fort et nous avons donc fini par reperdre contact. Ca doit bien faire 5 ans facile qu'on ne s'est plus vue ni même parler. J'ai perdu son numéro.
J'ai pensé à elle, il y a quelques jours à peine. Fort. Elle est apparue dans ma tête et je me suis dit un truc du style "Si jamais je pouvais ravoir une chance avec cette fille, je ferai les choses différemment..." et devinez quoi... ce matin, mon père m'appelle pour me dire qu'il a reçu un message d'un numéro allemand sur son téléphone qui demande après moi. C'est dingue... Coïncidence ? J'en doute fortement. Elle a donc repris contact avec moi. Cela signifie qu'elle pense toujours à moi après toutes ces années, et cela, malgré mes maladresses et ma personnalité totalement messy (aka cluster b personnality disorder hihi mais jsuis quand même fort attachante et kiki) et voilaaaaa. Elle part à NYC aujourd'hui. On va sûrement s'appeller demain ou lundi. Je me réjouis trop de la revoir et de l'avoir contre moi. C'est cool
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Il se passe quelque chose dans notre pays
Linda
Jeudi 20 avril 2023
Les retraites, un prétexte? Oui, certainement la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Depuis l’arrivée de ce président à la tête de la France, le ressenti – mon ressenti partagé par de nombreux amis – est que la plupart des lois votées sont loin de favoriser les plus démunis et qu’elles sont imposées coûte que coûte. Tantôt on apprend que les décrets qui les accompagnent les transforment (ainsi de la loi sur la formation professionnelle, qui pénalise ceux qui gagnent moins d’argent en obligeant à une participation pour les formations), tantôt elles sont ouvertement favorables aux plus riches (la suppression de l’impôt sur les grandes fortunes, la réforme du chômage, la suppression de certaines allocations,…). Lors de sa campagne, le futur président l’avait dit : « Je ferai les réformes qui s’imposent, même les plus impopulaires. » Il l’a dit, il l’a fait et ne cesse de s’en glorifier, même s’il y a eu de nombreux recours au désormais fameux 49-3. Il a aussi souligné à plusieurs reprises à quel point les Français étaient irréformables. Il a sans doute oublié que les Français sont aussi historiquement le fer de lance de la liberté en Europe. Or ces Français si impossibles à gouverner ont malgré tout beaucoup encaissé. Un premier ras-le-bol s’est exprimé avec les Gilets jaunes, gilets fluo destinés à signaler au président leur présence au bord de sa route. Puis il y a eu la crise sanitaire, gérée à coups de décisions unilatérales. Pays paralysé, confiné, bâillonné par un défilé de scientifiques macronés. Le réveil est lent mais les vérités se font jour (cf. le rapport sur la crise sanitaire rendu public par décision du Conseil d’État). Alors trop, c’est trop! C’est moins la loi que la manière de faire, incontestablement directoriale, voire dictatoriale. Mais ce qui est nouveau et inédit, c’est le bras de fer engagé par, d’un côté, quasi tout un peuple qui a la force du nombre et, de l’autre, le gouvernement, qui se cache derrière la légitimité électorale. L’élection ne permet pas tout et le peuple est en train de dire tout aussi démocratiquement non. Non à des décisions unilatérales qui favorisent toujours les mêmes ; non aux miettes qui lui ont toujours été accordées pour le faire taire ; non à la corruption des puissants qui imposent leur loi. Un peuple qui, s’il a recours au référendum d’initiative partagée, sortira vainqueur d’une guerre sans arme et sans mort, même si je n’oublie pas les blessés, aussi bien du côté des forces de l’ordre que des manifestants. Non, le roi ne sera pas décapité, mais le président pourrait bien être détrôné. Les peuples d’Europe ne s’y trompent pas et comprennent qu’il se passe quelque chose d’important du côté de la France. Habituellement, on pouvait s’attendre à ce qu’un homme providentiel sorte du bois. Or ce n’est là pas le cas, et c’est bien cela qui est véritablement nouveau. Les Gilets jaunes ont montré la voie. La jeunesse ne veut plus d’un leader, elle veut une vraie démocratie qui ne favorise pas quelques seigneurs du coin, comme à Sainte-Soline. En réalité, la France populaire est en train de dire non aux magouilles, non au favoritisme, non au trafic d’influence, non aux arrangements entre amis…, bref non à la corruption qui gangrène la démocratie.
Des décisions saines et sensées prises par les habitants eux-mêmes dans le respect de la nature et dans une logique de préservation de la terre. La VIe République est en marche, peut-être paradoxalement grâce à ce bras de fer, qui va beaucoup plus loin que le simple rejet d’une loi sur les retraites. Encore faut-il que le peuple ne se contente pas de dire non. Car il lui faut aussi se montrer créatif, inventif et plus encore. Une vraie révolution est en marche, mais pas celle dont rêvait Macron. Une révolution des consciences individuelles prêtes à prendre en main leur destinée.
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